people/c/ChatelainMaurice/index.html

Summary

Maintainability
Test Coverage
<!--#include virtual="/header.html" -->
<p>Il devient ingénieur. Il déménage un temps à <span
  class="place">Casablanca</span>. <time>1955</time> il déménage aux USA, tous frais payés, pour travailler comme
  ingénieur en électronique pour <i lang="en"><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Convair">Convair</a>
    Astronautics</i> (il obtiendra la nationalité américaine). Il travaille dans les télécommunications, puis est
  réaffecté à la télémétrie et enfin au radar.</p>
<section>
  <h2>Ryan</h2>
  <p><time>1959</time> il est recruté par <i lang="en">Ryan Electronics</i> (une division de la <a
    href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Ryan_Aeronautical_Company"><i lang="en">Ryan Aeronautical Company</i></a>) et
    est nommé responsable du groupe de recherche en électromagnétisme chargé de développer de nouveaux systèmes radar et
    de télécommunications. Durant ce travail, il obtient 11 brevets, dont 1 pour un système d'atterrissage automatique
    par radar, utilisé lors des vols <i lang="en">Ranger</i> et <i lang="en">Surveyor</i> vers la <a
      href="/place/systeme/solaire/planete/terre/lune">Lune</a> <span class="source">Chatelain, M. G.: "<a
      href="https://patents.google.com/patent/US3206749A/en">Spherical checkerboard reflector</a>", Ryan Aeronautical
      Co , 1961-03-20</span> <span class="source">Chatelain, M. G. : "<a
      href="https://patents.google.com/patent/US3192529A/en">Multi-helix antenna on inflatable satellite</a>", Ryan Aeronautical
      Co , 1961-03-20</span> <span class="source">Chatelain, M. G.: "<a
      href="https://patents.google.com/patent/US3152330A/en">Multi-spiral satellite antenna</a>", Ryan Aeronautical
      Co , 1961-03-27</span> <span class="source">Chatelain, M. G.: "<a
      href="https://patents.google.com/patent/US3153235A/en">Concave polyhedral reflector</a>", Ryan Aeronautical
      Co , 1961-03-27</span> <span class="source">Chatelain, M. G.: "<a
      href="https://patents.google.com/patent/US3155975A/en">Circular polarization antenna composed of an elongated microstrip with a plurality of space staggered radiating elements
</a>", Ryan Aeronautical Co , 1962-05-07</span> <span class="source">Chatelain, M. G.: "<a
      href="https://patents.google.com/patent/US3283330A/en">Omnipolarization microstrip antenna
</a>", Ryan Aeronautical Co , 1962-05-28</span>.</p>
</section>
<section>
  <h2>North American Aviation</h2>
  <p>Il déménage ensuite à <span class="place">Los Angeles</span> pour travailler pour <i lang="en">North American
    Aviation</i>, qui vient juste de décrocher le contrat du développement et de la production du vaisseau <a
    href="/org/us/nasa/projet/apollo">Apollo</a> pour la <a href="/org/us/nasa">NASA</a>. En quelques mois, il est
    chargé de mettre au point et construire des installations de transmissions audio et télévisées entre la Terre et la
    Lune. Cela implique des stations relais autour du globe dans les tropiques, chacune faisant plus de <span itemscope
      itemtype="https://schema.org/QuantitativeValue">
      <span itemprop="value">200</span> <span itemprop="unitCode" content="FOT">pieds</span>
    </span> de diamètre, de manière à ce qu'elles puissent communiquer entre elles et avec le centre de vol à <span
      class="place">Houston</span>. Il fallait qu'une ou deux restent toujours en contact avec le vaisseau Apollo
    orbitant autour de la Lune (il publiera un certain nombre d'articles techniques et donnera des conférences sur des
    sujets impliquant son expertise technique) <span
      class="source">Brener, Milton E. : <i
      lang="en">Walking Through Walls and Other Impossibilities: The Hybrid Agenda</i>,
    p. 140</span>.</p>
  <p>Cependant, lorsque <a href="/org/us/nasa/projet/apollo/11">Apollo 11</a> <a
    href="/place/systeme/solaire/planete/terre/lune">alunit</a>, Chatelain n'est plus employé par eux.
  </p>
  <section>
    <h3>Déclarations fracassantes</h3>
    <p><time>1975</time>, Chatelain publie un livre <span class="source">Chatelain, M.: <i>Nos ancêtres venus du
      cosmos</i>, Robert Laffont 2005. Traduit <i lang="en">Our ancestors came from outer space</i>, Dell Pub Co, New York,
    1975 / NY Doubleday, 1977-1978 puis <em>Our cosmic ancestors,</em> Temple Golden Pub., Sedona, AZ, 1988. Réédité
    <i>Les messagers du cosmos</i>, Les Enigmes de l'Univers, Rolbert Laffont, 1980.</span> sur le thème d'une ancienne
      colonisation de notre planète par des extraterrestres (les "<a href="/science/crypto/archeo">anciens
        astronautes</a>") où il traite de l'Atlantide, révise le calendrier Maya, et <a
        href="/org/us/nasa/projet/apollo/11">Apollo 11</a>, se présentant comme <q>ancien responsable des systèmes de
        communications de la <a href="/org/us/nasa">NASA</a>, et l'un des concepteurs du programme <a
          href="/org/us/nasa/projet/apollo">Apollo</a></q>.</p>
    <p>Dans son livre, il déclare avoir connaissance d'informations internes sur la mission <a
      href="/org/us/nasa/projet/apollo/11">Apollo 11</a> et les ovnis, et fournit la transcription supposée d'une
      conversation radio entre l'équipage et la base terrestre de la <a href="/org/us/nasa">NASA</a>, baptisée <i
        lang="en">Mission Control</i> :
    </p>
    <blockquote>
      <p class="answer"><strong>Apollo 11</strong> : Qu'est-ce que c'est ? Qu'est-ce que c'est, bon sang ! Je veux
        absolument le savoir. Les engins sont énormes, je vous dis... Mon Dieu, mais c'est incroyable...</p>
      <p class="question"><strong>Mission Control</strong> : Quoi...que se passe-t-il ?</p>
      <p class="answer"><strong>Apollo 11</strong> : Ils sont là, sous la surface.</p>
      <p class="question"><strong>Mission Control</strong> : Qu'est-ce qui se passe ? <i lang="en">Mission Control</i>
        appelle <a href="/org/us/nasa/projet/apollo/11">Apollo 11</a>.
      </p>
      <p class="answer"><strong>Apollo 11</strong> : Affirmatif, nous sommes ici tous les 3. Et ils sont là depuis pas
        mal de temps, à en juger par les installations... Je vous dis qu'il y a d'autres vaisseaux spatiaux là-bas. Ils
        sont alignés de l'autre côté du cratère.
      </p>
    </blockquote>
    <figure class="right side">
      <figcaption>Jean-Pierre Adam apportant la contradiction à Chatelain sur les coïncidences de dimensions entre
        monuments, lors de l'émission <i lang="en">Apostrophe</i> du <time>1975-11-28</time>,
      </figcaption>
      <iframe allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture"
        allowfullscreen height="315" src="https://www.youtube-nocookie.com/embed/ULssbSuyPEk"
        title="YouTube video player" width="560"></iframe>
    </figure>
    <p><time>1975-11-28</time>, il est invité pour ce livre par Bernard Pivot dans un numéro d'<em>Apostrophe</em>
      intitulé "Explorateurs des secrets de l'univers ou bricoleurs de l'impossible" <span class="source">"<a
        href="https://www.ina.fr/video/CPB93003286">Explorateurs des secrets de
      l'univers ou bricoleurs de l'impossible</a>", INA</span>.</p>
    <p>Selon Chatelain, <q>Il existe bien dans notre ciel de mystérieux "objets volants non identifiés" pilotés par des
      êtres vivants d'une intelligence supérieure et qui possèdent une technique encore inimaginable pour nous</q> <span
      class="source">Interview au <i>Parisien Libéré</i>, 1976-01-10</span>. Il pense, après avoir étudié la périodicité
      des grandes "<a href="/time/Vagues.html">vagues" d'observations</a> que les "pilotes" des engins extra-terrestres
      venant de civilisations de systèmes stellaires très éloignés profitent de la conjonction des 4 "grosses" <a
        href="/place/systeme/solaire/planete">planètes du système solaire</a> : Neptune, Uranus, Saturne et <a
        href="/place/systeme/solaire/planete/jupiter">Jupiter</a> pour ralentir leur vitesse grâce à l'attraction
      gravitationnelle énorme des 4 planètes. D'abord en orbite autour de Titan, un des satellites de Jupiter, les
      engins venus d'ailleurs se mettraient ensuite en orbite d'attente autour de Mars avant d'atteindre, 800 jours plus
      tard, la proximité de la Terre <span class="source">"<a href="/time/1/9/7/6/01/13/ExtraterrestresParmiNous">Extraterrestres parmi nous ?</a>", <em>Le
      Parisien Libéré</em>, 1976-01-13</span>.
    </p>
    <p>Lors d'une interview donnée <time>1979</time>, il insiste sur le fait que la durée de transmission du dialogue
      entre <em>Mission Control</em> et <a href="/org/us/nasa/projet/apollo/11">Apollo 11</a> permettait techniquement à
      la <a href="/org/us/nasa">NASA</a> de censurer des informations. Il soutient par ailleurs que tout le monde à la
      <a href="/org/us/nasa">NASA</a> savait que les astronautes observaient des ovnis (dont <span class="people">Neil A. Armstrong</span>
      qui en aurait vu 2 au bord d'un cratère), mais que la consigne était stricte : ne jamais en parler. <q>Tous les
        vols <a href="/org/us/nasa/projet/apollo">Apollo</a> et <a href="/org/us/nasa/projet/Gemini">Gemini</a> furent
        suivis, à distance et quelquefois de très près, par des vaisseaux spatiaux d'origine extraterrestre. À chaque
        fois, les astronautes en informaient <em>Mission Control</em>, qui leur enjoignait de garder le silence le plus
        complet</q>, dira-t-il. Pour lui, il se peut que certains de ces ovnis soient issus de la lune de Saturne,
      Titan. Cette hypothèse se fonde sur un incident passé inaperçu, survenu au cours des années 1970s : une sonde de
      la <a href="/org/us/nasa">NASA</a>, en approche de Titan, connut une soudaine panne de tout son matériel photo et
      radio, <em>a priori</em> inexplicable.</p>
    <p><time>1980-09-06</time>, il est invité pour ses livres par Igor et Grichka Bogdanoff dans un numéro de <em>Temps
      X</em> <span class="source">"<a href="https://www.ina.fr/video/I11087639">Maurice Chatelain et l'évolution des civilisations</a>", INA</span>.
    </p>
  </section>
</section>
<section>
  <h2>Enquête</h2>
  <p>Lorsque <span class="people">James E. Oberg</span> contacte les employeurs de Chatelain, il apprend que ce dernier
    n'était plus employé par eux lorsque <a href="/org/us/nasa/projet/apollo/11">Apollo 11</a> a atterri sur la Lune.
    S'il n'était plus employé par un sous-traitant de la <a href="/org/us/nasa">NASA</a>, il n'a pu être présent dans la
    "salle secrète" où il aurait pu entendre les communications confidentielles des astronautes à la surface de la Lune.
    Il était un ingénieur bas-niveau travaillant pour un sous-traitant de la <a href="/org/us/nasa">NASA</a> qui
    fabriqua les systèmes de communications d'<a href="/org/us/nasa/projet/apollo">Apollo</a>. Son statut de "chef des
    communications" était faux.
  </p>
</section>
<!--#include virtual="/footer.html" -->