people/w/WilkinsJohn/index.html
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<title>John Wilkins</title>
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<figure class="left side">
<figcaption> Wilkins</figcaption>
<img alt="Wilkins" src="/people/w/WilkinsJohn/portrait.jpg">
</figure>
<p>Wilkins naît <time>1614</time> à <span class="place">Fawsley</span>, à 4 km au sud de Daventry, dans le <span
class="place">Northamptonshire (Angleterre)</span>, 1 des 4 enfants de de John Wilkins, orfèvre d'Oxford, et Jane
Dod, elle-même fille du ministre de Puritan John Dod. Son père meurt <time>1625</time> et sa mère se remarie à
Francis Pope, dont Walter Pope, fils d'un premier mariage de Francis, restera un ami proche de Wilkins tout au long de
sa vie.</p>
<p>Wilkins suit les cours de latin et de grec d'Edward Sylvester, un hélenniste réputé, qui garde une école privée dans
le <span class="place">Parish of All Saints à Oxford</span> : il est si doué qu'à 13 ans il entre comme étudiant au
New-Inn, vers la Pâques de <time>1627</time>. Il ne reste pas longtemps là-bas, mais est removed to <span
class="place">Magdalen Hall</span>, ... et là obtient son diplôme d'Arts <time>1631-10</time>. Il entre ensuite
dans les ordres.
</p>
<p>Une fois diplômé, il fait ses études à Oxford, puis est nommé curé à Fawsley. Il est alors aumônier pour un certain
nombre de personnes fameuses, telles William Fiennes, George le 8ᵉ Lord Berkeley et Charles Louis. Fiennes est un
des principaux opposants de James I et Charles I à la Chambre des Lords et soutient du Parlement dans les guerres
civiles anglaises tandis que Louis est le neveu du roi Charles I, le fils de Frederick V, et le prince électeur
Palatine. Wilkins aurait été nommé à ce dernier poste en raison de son expertise en mathématiques <q>auxquelles il
consacre tous ses loisirs</q>.
</p>
<p><time>1638</time> Wilkins publie son 1er livre :
<i><a href="/time/1/6/4/8/Wilkins_TheDiscoveryOfAWorldInTheMoone/index_fr.html">La découverte d'un monde dans la
Lune</a></i>. <time>1640</time> il publie, toujours anonymement, <i>Un discours concernant une nouvelle
planète</i> et à partir de ce moment le <i>Discours</i> et la <i>Découverte</i> sont publiés ensemble comme une
œuvre unique. L'œuvre s'adresse au grand public plutôt qu'aux experts sur le sujet, et son but est de populariser la
vision de l'univers que l'on doit à <span class="people">Nicolas Copernic</span>, <span
class="people">Johannes Kepler</span> et <span class="people">Galilée</span>. Le principal argument est que la <a
href="/place/systeme/solaire/planete/terre/lune">Lune</a> n'est pas un disque brillant mais plutôt un monde avec
un paysage comme celui de la <a href="/place/systeme/solaire/planete/terre">Terre</a>. Bien sûr Wilkins n'est pas le
1er à avancer une telle théorie ; par exemple <span class="people">Galilée</span> l'a indiqué de manière semblable. De
manière peut-être plus surprenante, il pense que la <a href="/place/systeme/solaire/planete/terre/lune">Lune</a> est
une planète habitable et prédit qu'un jour le voyage vers elle sera possible. Ici aussi Wilkins n'est pas le 1er à
faire cette suggestion mais elle est typique de la manière dont il pense, permettant à son esprit de vagabonder au
milieu d'idées que d'autres auraient trouvé trop non conventionnelles pour les considérer.
</p>
<p><time>1640</time>, Wilkins, dans <i>A Discourse Concerning a New Planet</i>, défend avec force une nouvelle
approche de la <a href="/science">science</a>. Il joue un rôle majeur dans la révolution du 17ᵉ siècle, déclarant que
nous ne devrions pas être <q>si superstitieusement dévoués à l'Antiquité au point de prendre comme canonique tout ce
qui sort de la plume d'un Père, ou a été approuvé par consentement des Anciens. ... Il appartient à chacun dans la
recherche de la Vérité, de toujours préserver une liberté philosophique ; pas d'être asservi par l'opinion d'un
homme quelconque, comme si ce qu'il disait était infaillible. Nous devons travailler pour découvrir ce que sont les
choses en elles-mêmes par nos propres expériences ... pas ce qu'un autre dit d'elles. Et si dans une telle étude
impartiale, nous avons la chance d'éclairer une nouvelle voie, et qu'elle est en dehors de la voie commune, ce n'est
ni une faute de notre part, ni une tristesse pour nous.</q></p>
<p>Dans le même travail, Wilkins discours contre les Saintes Ecritures utilisées pour déterminer les faits dans le monde
physique :
</p>
<blockquote>
<p>Il serait heureux pour nous de pouvoir exempter les Ecritures des controverses philosophiques. Si nous pouvions
nous contenter de les laisser parfaites pour la fin à laquelle elles ont été conçues, en tant que Règle de notre Foi
et Obédience, et de ne pas les étirer pour être le Juge de vérités naturelles qui doivent être trouvées par nos
propre industries et notre propre expérience.
</p>
</blockquote>
<p>Les arguments utilisés sont semblables à ceux de <span class="people">Galilée</span> mais il n'y a pas d'éléments
suggérant que Wilkins ait en fait vu la <i>Lettre à Castelli</i> de <span class="people">Galilée</span> qui les
contient, bien au contraire.
</p>
<p>Wilkins travaille sur les codes et la cryptographie, publiant <i>Mercury, or the Secret and Swift Messenger</i> en
<time>1641</time>. Le livre traite d'une large gamme d'idées associées à la communication et au language. Il examine
le problème des langues différentes dans différentes parties du monde et cherche une solution à cette malédiction qui
gêne l'éducation. Il atteint l'idée d'une langue universelle, un sujet sur lequel il reviendra dans son travail final.
</p>
<p><time>1648-04-13</time> Wilkins est nommé surveillant du Wadham College, à Oxford. À cette époque, il est toujours
aumônier pour le prince elector Charles Louis et n'est pas, par conséquent, en position d'avoir le titre de docteur of
divinity qui est nécessaire pour un surveillant. En raison de cela on lui accorde du temps pour étudier pour le
diplôme qu'il obtient <time>1648-12-19</time>. Qu'il ait pu consacrer du temps à passer son diplômé si tôt est une
conséquence de la Paix de Westphalie signée <time>1648-10-24</time>. Cela met un terme à la phase allemande de la
guerre de 30 ans et le Rhenish Palatinate est restauré à Charles Louis qui retourne à Heidelberg. Wilkins semble
voyager dans un certain nombre de destinations européennes autour de cette époque, probablement en revenant de
Heidelberg où il a accompagné Charles Louis.
</p>
<p>Wilkins remplit certainement ses fonctions avec grande compétence. Il siège dans divers comités qui cherchent à
restaurer l'autonomie de l'université et de ses collèges. L'université est attaquée à cette époque par diverses
factions religieuses, sur la manière dont elle est gouvernée comme sur le curriculum, et Wilkins la défend
particulièrement vigoureusement. Il est en position forte pour le faire, ayant favorisé des changements dans
l'éducation vers un enseignement pratique qui devrait bénéficier à l'humanité. Il vise à <q>obtenir l'acceptation de
la nouvelle <a href="/science">science</a>, apporter le travail de <a href="../../c/CopernicNicolas">Copernic</a>,
<a href="../../k/KeplerJohannes">Kepler</a>, <a href="../../g/Galilee">Galilée</a>, Gilbert,
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Mersenne.html">Mersenne</a> et d'autres à
l'attention de ses compatriotes</q><i>.</i></p>
<p>Wilkins écrit aussi sur les appareils mécaniques, publiant <i>Mathematical Magick, or the wonders that may be
performed by mechanical geometry</i> <time>1648</time>. C'est un récit des principes fondamentaux des machines et
la 1ʳᵉ partie décrit la balance, le levier, la roue, la poulie, la cale et la vis. Wilkins explique alors comment
combiner ces appareillages <q>pour soulever n'importe quel chêne par les racines with a hair, lift it up with a straw,
or blow it up with one's breath.</q> Le tout est plutôt sensationnel, en particulier les illustrations, mais
l'imagination de Wilkins y reste basée sur de bons principes mathématiques. Un des appareils qu'il y décrit est le
smokejack, dont le 1er croquis fut fait par
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Leonardo.html">Léonard de Vinci</a>. Cette
machine consiste en des voiles horizontales montées sur un axe vertical et driven by the hot air rising up a chimney.
Un système de gearing est utilisé afin que le smokejack puisse turn a roasting spit.
</p>
<p>Wilkins et <a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Hooke.html">Hooke</a> travaillent
ensemble sur des machines pendant de nombreuses années et on rapporte que <q> persons together were not to be found
else where in Europe, for parts and ingenuity.</q></p>
<p>2 travaux sont particulièrement importants en tant qu'influences sur la pensée de Wilkins sur les machines : le <i>Liber
mechanicorum</i> (<time>1577</time>) de Guidobaldo del
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Monte.html">Monte</a> et <i>Cogitata <time>Physico-Mathematica</i>
(1644) de</time><a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Mersenne.html">Mersenne</a>. En
fait it is fair to note that Wilkins owed quite a debt to
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Mersenne.html">Mersenne</a> in a whole variety
of areas for the two shared views closely. In many ways one can look at Wilkins work as popularising the more
technical writings of
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Mersenne.html">Mersenne</a>.
</p>
<p>La dernière œuvre de Wilkins, qui devait être réécrite, l'original ayant été détruit dans le grand incendie de
Londres <time>1666</time>, est sur une langue universelle. Elle est décrite de la manière suivante :
</p>
<blockquote>
<p>La 1ʳᵉ partie décrit l'origine des langues et des alphabets... La 2ᵉ partie est une classification exhaustive
des notions de toutes les sphères de pensée, P M Roget a clairement basé son Thesaurus sur ce travail de Wilkins. La
3ᵉ partie traite de grammaire, syntaxe, orthographe, voyelles et consonnes. La 4ème partie fournit les symboles
des nouvelles écritures et langue proposées et donne des exemples et instructions quant à son usage.
</p>
</blockquote>
<p>Illustrons la langue universelle de Wilkins en donnant sa propre explication du symbole <img
src="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Diagrams/Wilkins_ever.gif">.
</p>
<blockquote>
<p>Le caractère générique <img src="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Diagrams/Wilkins_space.gif"> doth
signify the genus of space. the acute angle on the left side doth denote the first difference, which is Time. The
other affix signifies the ninth species under the differences, which is Everness. The Loop at the end of this affix
denotes the word is to be used adverbially; so that the sense of it must be the same which we express by the phrase,
For Ever and Ever.
</p>
</blockquote>
<p>It may be clever, but it is clear from this one example that learning the language would always present major
problems. The difficulty in using Wilkins' new language is nicely summed up by one of his contemporaries who wrote :
</p>
<blockquote>
<p>A Doctor counted very able<br> Designs that all mankind converse shall,<br> Spite o' the confusion was at
Babell,<br> By a character called universall.<br> How long that character will be learning,<br> That truly passeth
my discerning.
</p>
</blockquote>
<p>As to Wilkins' character, Aarsleff writes in :</p>
<blockquote>
<p>Throughout his life, he gained and retained the friendship and respect of men of the most diverse political and
religious persuasions. No doubt such personal qualities as charm, ready conversation, and energy played their part
in his success, but a deeper reason would seem to lie in his commitment to beliefs that transcended the exclusive
interests of any particular faction. From the first to the last, all his writings advocate scientific and religious
views that by the time of his death had proved that they represented the temper of the times. The new science had
triumphed ...
</p>
</blockquote>
<p><a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Hooke.html">Hooke</a>, qui a travaillé de près
avec Wilkins, wrote the following fine tribute to him in the Preface to <i>Micrographia</i> (<time>1665</time>) :
</p>
<blockquote>
<p>There is scarce one invention, which this nation has produced in our age, but it has some way or other been set
forward by his assistance. ... He is indeed a man born for the good of mankind, and for the honour of his country.
in the sweetness of whose behaviour, in the calmness of his mind, in the unbounded goodness of his heart, we have an
evident instance, what the true and primitive unpassionate religion was, before it was soured by particular
factions.
</p>
</blockquote>
<p><time>1656</time> Wilkins épouse Robina, une soeur de Oliver Cromwell, obtaining special dispensation since the
statutes of Wadham College prohibited the Warden from marrying. Bien que Oliver Cromwell soit mort en 1658, être
marrié à sa soeur n'affecta pas sa carrière du tout ! <time>1659</time> Richard Cromwell, fils d'Oliver Cromwell et
Lord Protecteur d'Angleterre, somme Wilkins Maître du College de la Trinité à Cambridge. Cependant Richard Cromwell
est forcé d'abdiquer le 25 mai <time>1659</time> et <time>1660</time> la monarchie est restaurée lorsque Charles II
devient roi. Wilkins est dépourvu de son poste lorsque Henry Ferne déclare que la position de Maître lui a été promise
par Charles I. Le fait que Wilkins soit marrié est instrumentalisé pour se débarrasser de sa personne.
</p>
<p>Nombre de personnes à Cambridge regrettent le départ de Wilkins, en particulier Isaac
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Barrow.html">Barrow</a>. Cependant, in many ways
leaving Cambridge allowed Wilkins to influence the foundation of the
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Societies/RS.html">Royal Society</a> it a way that would not
have happened had he remained there, and this proved to be one of the finest achievements of his career.
</p>
<p><time>1645</time>, alors qu'il vit à Londres, Wilkins est associé pour la 1ʳᵉ fois avec un groupe d'homme qui
formeront par la suite la <a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Societies/RS.html">Royal Society</a>.
Wallis écrit que les débuts de cette
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Societies/RS.html">Société</a> furent <q><time>~1645</time> (si
ce n'est plus tôt) lorsque le Dr Wilkins (alors Aumônier du Prince Electer Palatine à Londres) [et un certain nombre
d'autres hommes dont Wallis lui-même] se rencontrent chaque semaine à un certain jour et une certaine heure, sous
une certaine pénalité, et une contribution hebdomadaire pour the charge of experiments, avec certaines règles
entendues entre nous, pour traiter et discourir de telles affaires.</q>
</p>
<p><i>Vers l'année <time>1648/1649</time>, certains de notre compagnie being removed to Oxford (d'abord le Dr Wilkins,
puis moi, et peu après le Dr Goddard) notre compagnie se divisa. Ceux à Londres continuèrent à se rencontrer là-bas
comme avant (et nous avec eux, lorsque nous avions l'occasion d'être là, et ceux d'entre nous à Oxford ... et divers
autres, poursuivirent de telles réunions à Oxford, et amenèrent ces Etudes à la mode là-bas.</i></p>
<p>En fait alors que Wilkins est à Wadham il rassemble autour de lui un groupe de <q> personnes intéressantes
inquisitive into natural philosophy and other parts of human learning. </q></p>
<p>Ce groupe de Oxford se rencontre au Wadham College lorsque Wilkins est là-bas à Warden mais, après que Wilkins soit
parti à Cambridge, ils se rencontrent aux logements de Boyle. Après que Wilkins ait quitté Cambridge et soit retourné
à Londres he joined with the group which were meeting weekly at Gresham College. The report of the meeting at which
the <a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Societies/RS.html">Royal Society</a> was founded reads:
</p>
<blockquote>
<p>Memorandum 28 novembre 1660. Les personnes suivantes selon l'habitude de la plupart d'entre eux, se sont rencontrés
au Gresham College pour écouter la conférence de M.
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Wren.html">Wren</a>, viz. Le Lord
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Brouncker.html">Brouncker</a>, M.
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Boyle.html">Boyle</a>, M. Bruce, Sir Robert
Moray, Sir Paule Neile, le Dr Wilkins, le Dr Goddard, le Dr Petty, M. Ball, M. Rooke, M.
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Wren.html">Wren</a>, M. Hill. Et après que la
conférence fut terminée they did according to the usual manner, withdraw for mutual converse.
</p>
</blockquote>
<p>Revenant au récit donné par
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Mathematicians/Wallis.html">Wallis</a> de la fondation de la
<a href="https://www-groups.dcs.st-and.ac.uk/%7Ehistory/Societies/RS.html">Royal Society</a> :
</p>
<blockquote>
<p>Tout ce temps, le Dr Wilkins et le Dr Goddard, through all these changes, continued those meetings, (and had a
great influence on them) from the first original, till the days of their death ...
</p>
</blockquote>
<p>Bien qu'il ait été écarté de Cambridge à la restauration de la monarchie, Wilkins est bientôt dans les faveurs de
Charles II. Le <time>1662-04-11</time> le roi le fait vicaire de St Lawrence Jewry à Londres. Il est consacré évêque
de Chester <time>1668-11-14</time>. Il voyage alors fréquemment entre Chester et Londres bien qu'il passe la plupart
du temps à Chester. <time>1672</time>, cependant, il souffre ill health et après sa mort en
<time>1668-11</time> à Chester est enterré à la St Lawrence Jewry <time>1668-12-12</time>.
</p>
<p><strong>Auteur de </strong>:</p>
<ul>
<li><i><a href="/time/1/6/4/8/Wilkins_TheDiscoveryOfAWorldInTheMoone/index_fr.html">The Discovery of a World in the
Moone</a>: Or A Discourse Tending To Prove that 'tis probable there may be another habitable World in that
Planet</i>, 1638
</li>
<li><i>A discourse concerning a new planet</i>, 1640</li>
<li><i>Mercury, or the Secret and Swift Messenger</i>, 1641</li>
<li><i>Mathematical Magick, or the wonders that may be performed by mechanical geometry</i>, 1648</li>
<li><i>An Essay towards a Real Character and a Philosophical Language</i>, 1668</li>
</ul>
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