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<title>La terasse de Baalbek</title>
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<figure class="left side">
  <figcaption>Le "mur cyclopéen", notamment formé du Trillithon (les 3 blocs rectangulaires les plus imposants,
    alignés), au-dessus duquel s'élèvent les 6 colonnes restantes (elles mêmes hautes de 64 pieds, formées de 3 blocs)
    du temple de Jupiter. Au centre de l'image, 2 hommes donnent l'échelle.
  </figcaption>
  <img alt="Les temples de Baalbek reposent sur des blocs cyclopéens " src="baalbek-05.jpg"/>
</figure>
<p>Les temples de la ville de <span class="place">Baalbek</span> (renommée un temps Héliopolis avec la conquête du
  Proche-Orient par Alexandre puis les romains), aujourd'hui en ruines, situés dans la plaine fertile de Bekaa (Liban, à
  85 km de Beyrouth), reposent sur des fondations bien particulières : d'immenses blocs monolithiques dont la masse
  varie entre quelques et plusieurs centaines de tonnes , couvrant quelques <span itemscope
      itemtype="https://schema.org/QuantitativeValue">
      <span itemprop="value">5000000</span> <span content="FOT" itemprop="unitCode">pieds</span>
    </span><sup>2</sup>. 3 pierres colossales en particulier (appelées Trillithon), frappent les esprits, mesurant <span
      itemscope itemtype="https://schema.org/QuantitativeValue">
      <span itemprop="value">64</span> <span content="FOT" itemprop="unitCode">pieds</span>
    </span> de long, <span itemscope itemtype="https://schema.org/QuantitativeValue">
      <span itemprop="value">14</span> <span content="FOT" itemprop="unitCode">pieds</span>
    </span> de haut et <span itemscope itemtype="https://schema.org/QuantitativeValue">
      <span itemprop="value">12</span> <span content="FOT" itemprop="unitCode">pieds</span>
    </span> de large, et pensant près de 800 t.
</p>
<figure class="right side">
  <figcaption> Le bloc abandonné dans la carrière. Un homme allongé dessus donne l'échelle</figcaption>
  <img alt="Les temples de Baalbek reposent sur des blocs cyclopéens " src="baalbek-03.jpg"/>
</figure>
<p>D'où viennent ces pierres ? A priori de plus de <span itemscope itemtype="https://schema.org/QuantitativeValue">
      <span itemprop="value">1</span> <span content="SMI" itemprop="unitCode">pieds</span>
    </span> de distance, où se trouve une carrière où repose encore "le Monolithe", <em>Hadjar el Gouble</em> ("la
  pierre du sud") un bloc découpé, mais abandonné de <span itemscope itemtype="https://schema.org/QuantitativeValue">
      <span itemprop="value">72</span> <span content="FOT" itemprop="unitCode">pieds</span>
    </span> de long et plus de 1000 t. Il s'agit du plus grand bloc de pierre taillée sur Terre.
</p>
<p><time>1959</time>, <span class="people">Matest Agrest</span> avance l'hypothèse du "paléocontact", selon laquelle
  des extraterrestres plus avancés que nous auraient joué un rôle dans notre histoire. Il avance plusieurs exemples
  issus de récits bibliques, comme Sodome et Gomorre bibliques (cités jumelles dans l'ancienne Palestine et la plain du
  Jourdain) qu'il présente comme des sites d'explosion nucléaire, mais aussi la terrasse antique de Baalbek, qu'il
  théorise comme plate-forme d'atterrissage de vaisseaux spatiaux. Ses opinions sont publiées <time>1960</time> dans
  la <em>Literaturnaya Gazeta</em> de Moscou.
</p>
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