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<ul>
<li><time>25</time> À <span class="place">Jabreilles-les-Bordes (Haute-Vienne)</span>, <span class="temoin">Etienne
Géry</span> (16 ans, apprenti boulanger), décide dans l'après-midi d'aller faire un tour avec l'espoir de découvrir
des champignons. Il emprunte un itinéraire familier, gravissant une petite pente. Il dépasse le sommet, la
végétation est très dense à cette époque, les fougères atteignent presque la taille d'un homme. Soudain, entre les
fougères, il distingue quelque chose d'anormal : une sorte de dôme d'apparence métallique est là à peine à 15 m de
lui. D'abord intrigué, il s'arrête, puis poussé par la curiosité, il fait encore 2 pas prudents. Avec un bâton, il
écarte le rideau des fougères. Ce faisant, il est ébloui par une très vive lumière jaune-orange émanant de 3 sortes
de carreaux rectangulaires situés juste sous le dôme. Toujours est-il que l'intensité de la lumière est telle qu'il
lui semble que le haut du dôme est comme séparé de la partie inférieure de l'objet. La curiosité du témoin se
transforme en une intense frayeur. Il se sent paralysé, incapable de faire un geste, ni d'avancer ni de fuir. La
coupole tout à coup se met à s'élever lentement, suivie de la carapace et l'ensemble de l'engin émerge de l'écran
des fougères. Le faisceau de lumière orange suit l'ascension de l'objet et le témoin n'est plus ébloui. Il distingue
alors 3 ou 4 hublots circulaires situés au milieu de la partie inférieure comme s'ils faisaient partie d'une rangée
qui en aurait fait le tour. Il évalue la longueur de l'engin à 5 ou 6 m et la hauteur à 2,50 m à 3 m et compare sa
masse à l'importance d'une Estafette Renault. Sur le dôme, il remarque 3 antennes : celle de droite mesure environ
1,50 m, celle de gauche inclinée vers la gauche 60 cm et celle du milieu se dressant à la verticale 45 cm. Les
antennes lui ont paru rigides. Elles n'oscillèrent pas durant l'ascension. Il ne perçoit aucune silhouette derrière
les hublots. En s'élevant un sifflement aigu accompagna ce mouvement. Sur le dessous 4 supports absolument
identiques étaient comme sortis de 4 trous. Chacun se terminait par une semelle plate ou légèrement convexe, plus
longue que large. Les 4 pieds se sont escamotés dans la partie inférieure, l'objet bascula, prit une assiette
normale et s'éloignait. Pendant l'élévation de l'engin le témoin ressent une impression de chaleur. Une fois à une
altitude de 100 m environ l'objet prit un départ fulgurant et disparut en 2 ou 3 s à l'horizon nord-nord-ouest <span
class="source">"Mystérieuses soucoupes Volantes", <i>LDLN</i>, Albatros-Etapes 1973, pp. 61-74 < Van
Overmeire, Godelieve : "<a href="https://users.skynet.be/sky84985/chron18.html">Chronologie Ovni</a>"</span>.</li>
<li>(ou 1971, ou 1972, ou 1973) <time>~21:00</time> Dans les <span class="place">Landes (Aquitaine)</span>, une
personne voit arriver à 300 ou 400 m d'altitude une soucoupe de couleur blanche ou aluminium, de 6 à 8 m de
diamètre, qui avance très lentement en ligne brisée de droite à gauche. Un faisceau de lumière arrive de 2 puissants
projecteurs placés à l'avant. Appelant des membres de sa famille, ils peuvent voir l'aéronef disparaître à très
grande vitesse, sans bruit et dans un mouvement ascendant de 45°. Un 2ᵉ aéronef apparait alors, de la forme d'un
cigare blanc ou aluminium de 30 m environ et arrivant sans bruit, il est à la même altitude que le 1er. Une
trentaine de hublots permettait de voir une lumière douce et tamisée à l'intérieur. Il se déplace en ligne droite
très lentement et disparait caché par la cime des arbres. Les 2 aéronefs venaient du N-NO et allaient vers le S-SE.
Le témoin fait état d'un article presse sur des lumières apparues le soir en question à l'aéroport de Bordeaux <span
class="source">GEPAN : <a href="https://www.cnes-geipan.fr/geipan/regions/aqu/etude_1970-01-01784.html">PAN classé C</a></span>.
</li>
</ul>
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