time/1/9/7/4/05/index.html
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<ul>
<li><time>1974-05-02</time> Le département des sciences de la terre conclut que les prélèvements effectués <time>1974-02-10</time>
ne présentent rien d'anormal. Il regrette cependant que le prélèvement ait été mal fait (trop de terre mélangeant
terre de surface et profonde, et pas d'échantillon de contrôle).
</li>
<li><span class="people">Allan Sandler</span> et <span class="people">Robert Emenegger</span> contactent le docteur
<span class="people">Josef Allen Hynek</span> pour les aider à réaliser des documentaires commandés par le <a
href="/org/us/dod/index.html">DoD</a>, traitant de ses relations avec les ovnis.
</li>
<li><time>1974-05-17</time> Une équipe de l'armée de l'air recupère l'épave d'un objet circulaire métallique de 18 m
de diamètre et la transporte à la base aérienne de <a href="/org/us/dod/af/base/KirtlandAFB.html">Kirtland</a>, près
d'Albuquerque.
</li>
<li><time>1974-05-20 19:00</time> M. Le M., boulanger à <span class="place">Landévennec (Bretagne)</span>, rentre à
son domicile, accompagné de son épouse et de ses 2 enfants en bas âge. Depuis quelques instants déjà, la famille
observe une lueur en direction de Landévennec. Après avoir négocié un virage, stupeur: une série de <q>boules
lumineuses</q> accolées les unes aux autres (7 à 8 selon M. Le M.) comme celles d'un chapelet, barre littéralement
la route. M. Le M. fait quelques appels de phare à "la chose", sans réponse. Le phénomène reste là, immobile et
silencieux. Au bout de quelques mn de réflexion, la famille rebrousse chemin pour se réfugier à la gendarmerie de
Telgruc/mer <span class="source">Enquête de Remy Guéguen, de la CNR</span> <span class="source"><em>Armor</em> n° 86 p. 27</span>
<span class="source"><em>Armor</em> n° 87 p. 37</span> <span class="source">Boedec, J.-F.: <em>Fantastiques
rencontres au bout du monde</em>, 1982, p. 61</span> <span class="source">"<a
href="/time/2/0/0/7/07/Landevennec_LDLN">Landevennec, 20 mai 1974</a>", <em>LDLN </em>n° 386</span>.
</li>
<li><time>1974-05-31 02:30</time> <em>Peter</em> (24 ans) et sa femme <em>Frances</em> (21 ans) — il s'agit de
pseudonymes — font route dans une Peugeot 404, ralliant ce qui se nomme alors Salisbury à Durban (<a
href="/org/za/index.html">Afrique du Sud</a>). La route leur fait franchir la frontière sud-africaine (avec le
Zimbabwe) à Beit Bridge, au niveau du fleuve Limpopo. A environ 32 km au sud d'Umvuma en Rhodésie (maintenant Harare
au Zimbabwe), Frances remarque une lumière sur la gauche suivant leur voiture. Les phares s'affablissent, le couple
a soudain très froid et doit s'envelopper dans des couvertures. Réalisant qu'il conduit bien au-delà de la vitesse
permise, Peter relâche l'accélérateur — mais rien ne se produit. Les phares s'éteignent complètement, et Peter
perd tout contrôle du véhicule qui fonce sur la route à 145 km/h. Lorsque Fort Victoria est en vue, l'ovni vire de
bord et s'éloigne ; la voiture se remet alors à fonctionner normalement. Le couple s'arrête à fort Victoria pour
prendre de l'essence et étonne le gardien en faisant des remarques au sujet du froid. Juste à la sortie de Fort
Victoria, l'ovni réapparaît et Peter perd une fois de plus le contrôle de son véhicule. Plus étrange encore, la
route devient totalement droite et sans circulation, traversant une luxuriante végétation tropicale (alors qu'elle
est réputée pour être sinueuse, très fréquentée de nuit qu'elle traverse des paysages arides). Arrivant à la
frontière près de Beit Bridge, à 290 km de Fort Victoria, les montres du couple indiquent 7 h 30, soit 1 h de retard
et il n'ont dépensé que 22 cents d'essence. La régression sous hypnose révèlera que la voiture s'était trouvée sous
le contrôle d'un humanoïde <q>expédié par rayon</q> sur le siège arrière de la voiture depuis l'ovni, lequel venait
d'une lointaine galaxie. L'humanoïde prétendait pouvoir prendre n'importe quelle forme, du canard à l'être humain
normal...
</li>
<li>(ou <time>1975-06</time>, ou <time>1975-05/1975-06</time>) A <span class="place">Concarneau (Finistère)</span>, un
témoin observe, depuis son appartement situé au 5eme étage, 3 points lumineux fixes à une altitude estimée à entre
200 à 300 m. Après plusieurs minutes et sans bruit, ces points lumineux se rapprochent de la côte puis s'éloignent
vers le sud <span class="source">Témoignage du 14 mai 2008 < GEPAN : <a
href="https://www.cnes-geipan.fr/geipan/regions/bre/etude_1974-05-02510.html">PAN
classé C</a></span>.
</li>
</ul>
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