time/1/9/8/0/Dewilde-Mary_NeResitezPasAuxExtraterrestres/03.html
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<title>Le même soir, à 2 h d'intervalle</title>
<link href="02.html" rel="prev" title="Contactés, mes amis... Marius Dewilde vous parle !">
<link href="04.html" rel="next" title="La 'chose'">
<link href="index.html" rel="start" title="Ne résistez pas aux extraterrestres">
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<p> Aprés cette première aventure, Marius Dewilde ne se doutait pas que, 2 h plus tôt, en Corrèze, des événements,
analogues à ceux qu'il avait vécus, s'étaient également déroulés. Dans son livre, <em>Black-out sur les soucoupes
volantes</em>, <span class="people">Jimmy Guieu</span>, qui enquêta sur place, rapporte les faits et ses propres
conclusions, véritablement prophétiques. La journée du <time>1954-09-10</time> fut marquée, en France, par 2
événements stupéfiants.
</p>
<p>Le 1er survint a 20:30, en Corrèze, non loin du hameau de Mourieras, sur le plateau de Millevaches. Ce soir-la, M.
Antoine Mazaud, 50 ans, oeuvrant de ses champs, rencontra sur un sentier, à 1500 m de son habitation, un "individu"
inconnu, de taille normale, coiffé d'un casque - analogue a ceux des motards mais sans oreillettes - qui marcha vers
lui. La surprise fut grande de part et d'autre mais M. Mazaud, inquiet, esquissa un geste de défense avec la fourche
qu'il portait sur son épaule. C'est alors que "l'inconnu" s'avança vers M. Mazaud, les mains tendues, souriant, pour
le convaincre de ses bonnes intentions. Craignant de ne pas assez se faire comprendre, "l'inconnu " s'approcha du
fermier et, tout en prononçant des paroles incompréhensibles, il lui prit les mains et les serra avec chaleur. Puis,
avant que M. Mazaud ne fut revenu de sa surprise, il enjamba le talus bordant le sentier et sauta dans un engin
bizarre, ayant la forme d'un gros cigare métallique, de 3 à 4 m de long. L'appareil, qui n'était pas éclairé, décolla
à la verticale en émettant un curieux bourdonnement de ruche et disparut en direction de l'Ouest. Les dires de M.
Mazaud, déformés, firent écrire a certains qu'il avait été embrassé par l'Ouranien. En réalité, ce dernier lui pressa
simplement les mains en signe d'amitié. Longuement interrogé par le lieutenant de gendarmerie d'Ussel, le témoin
maintint formellement ses déclarations, déplorant simplement tout le bruit fait autour de son extraordinaire aventure.
La gendarmerie, prévenue seulement 5 jours plus tard, ne put relever aucune trace à l'emplacement de l'atterrissage.
Précisons que M. Mazaud, honorablement connu, n'a pas la réputation d'un farceur ni d'un visionnaire. Son
incontestable accent de sincérité, l'absence de toute contradiction dans son récit on convaincu les enquêteurs de sa
probité. Par ailleurs, venant ainsi confirmer la présence d'un engin "inconnu" dans la région, M. George Frugier, 30
ans, habitant Limoges, affirma avoir aperçu précisément vers 20 h 30, un "disque" rouge sillonnant le ciel d'est en
ouest et laissant échapper une traînée bleutée. Limoges est justement située au Nord-Ouest de Mourieras (commune de
Bugeat) d'où décolla le cigare, sa puissante luminosité en vol a pu prendre l'aspect d'une sphère lumineuse noyant la
forme réelle de l'appareil qui fut alors pris pour un "disque". Aujourd'hui, <span class="people">Jimmy Guieu</span>
n'émettrait pas une telle hypothèse, mais l'ufologie d'il y a 26 ans ne soupçonnait pas encore "la particule
varionique" qui modifie les structures de la matière, d'où la vision multiforme des engins interplanétaires. Mais
déja, <span class="people">Jimmy Guieu</span> pressentait "l'effet varionique". Nous avons vu qu'un engin aux formes
baroques, au <a href="/org/ca/index.html">Canada</a>, avait été littéralement noyé dans une luminosité soudaine qui le
transforma en une sorte de "boule de lumière". Et si <span class="people" title="Jimmy Guieu">Jimmy</span>,
<time>1955</time>,
ne fournit pas d'explication quant au phénomène, du moins aura-t-il l'ouverture d'esprit de ne pas le nier. Mais notre
pionnier-ufologue, qui gagne alors sa vie en publiant des récits de "/science-fiction" très imaginatifs mais peu
"sérieux" ! - ne peut tout de même pas s'empêcher de prendre des risques qui, 26 ans plus tard, seront des évidences
pour quiconque étudie sérieusement la physique quantique : <q>Voici donc, pour "l'individu" décrit par M.Mazaud, un
Ouranien morphologiquement et "physiologiquement" humain puisqu'il n'arborait aucun scaphandre ni casque inhalateur.
Cet être était par conséquent à l'aise dans notre atmosphère. Son métabolisme était analogue a celui de l'<em>homo
sapiens</em>. Eliminons d'emblée l'hypothèse d'un simple mortel originaire d'une puissance étrangère et pilotant
un prototype expérimental capable de foncer dans le ciel avec un infime bourdonnement. La puissance qui disposerait
d'un appareil aussi révolutionnaire se garderait bien de l'envoyer sur tous les pays du globe et commencerait par
cesser d'investir des sommes fabuleuses dans la construction des avions "classiques" supersoniques.</q> Cet engin
venait donc nécessairement d'ailleurs. D'un autre monde aux conditions physiques, à atmosphère, à la pesanteur
analogues ou, du moins, sensiblement identiques aux nôtres. Existe-t-il, dans notre système solaire, une plantée soeur
jumelle de la nôtre ? La réponse est non. A moins d'admettre que des "martiens" ou "vénusiens" humanoïdes aient pu
construire des villes sous globe ou seraient reproduites les conditions atmosphériques terrestres ! L'on doit alors
imaginer qu'à une lointaine époque l'une de ces planètes répondait aux caractéristiques actuelles de la nôtre.
L'hypothèses la plus logique, mais aussi la plus "hérétique" pour les savants, est que cet ouranien venait d'un autre
système solaire proche - astronomiquement parlant - du nôtre. Si l'on admet cette hypothèse, l'on doit, par voie de
conséquence, admettre aussi que cet astronef s'est déplacé dans l'espace cosmique a une vitesse infiniment supérieure
a la vitesse de la lumière. Ainsi que je l'ai exposé dans les Soucoupes volantes viennent d'un autre monde, une telle
hypothèse semble bien contredite par la théorie d'<span class="people" title="Albert Einstein">Einstein</span>,
théorie selon laquelle tout mobile dont la vélocité tend vers celle de la lumière voit sa masse devenir infinie.
Acceptons donc pour vraie - jusqu'à preuve du contraire - cette théorie et envisageons une autre possibilité : celle
du Sub-Espace. Le Sub-Espace ou l'Hyper-Espace serait un espace (peut-être concomitant a l'espace "connu") mais
indécelable parce que partie intégrante de ce que l'on pourrait appeler un "autre plan" ou une autre Dimension. Dans
cet "autre plan" ou dimension, l'espace n'aurait point d'étendue, le temps point de durée ! (...) Un Univers ou le
cube et la sphère, figurent à 3 dimensions, sont la section de formes correspondantes à 4 dimensions que les hommes ne
connaissent qu'a travers leurs conjectures, leurs rêves et où il n'existe pas des états tels que le passé, le présent
et le futur. Dans cet Univers abstrait tout ce qui a été, est et sera, existe simultanément. Pour parler de cet
"univers abstrait", que l'on est bien obligé de penser avant de pouvoir y accéder,
<span class="people">Jimmy Guieu</span> fait référence à un poète : <span class="people">H. P. Lovecraft</span>, qui
imagine cet univers dans son roman <em>Démons et Merveilles</em>. Est-ce a dire que "l'idée" de cet univers
appartienne davantage à Lovecraft qu'à <span class="people">Guieu</span> ? Cette seule question (ridicule) indique
bien un mode de penser tridimensionnel, c'est-à-dire "étroit". Et si l'idée de <span class="people">Lovecraft</span>
appartenait a une espèce "d'osmose psychique" seulement accessible à certaines structures mentales ? Est-ce vraiment
un hasard si cette idée fut émise par un poète, qu'elle permit d'échafauder une hypothèse à un ufologue, et qu'elle
sert aujourd'hui la parapsychologie, l'atomistique, la génétique ? Est-ce toujours un hasard Si cette idée poétique se
concrétise de plus en plus dans les travaux qu'effectuent le professeur Jouvet et le docteur Bonelli sur le rêve ? On
ne connaît pas bien le professeur Jouvet ni le docteur André Jean Bonelli ? Qu'a cela ne tienne, on en parlera
bientôt, en attendant, que le chercheur intéressé se précipite sur deux ouvrages du physicien Jean Emile Charon
L'esprit cet inconnu et Mort, voici ta défaite. On comprendra alors que potées, chercheurs et scientifiques a l'esprit
ouvert s'abreuvent a la même source universelle car le propre de la pensée sauvage est d'étre intemporelle.
</p>
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